Wolfgang Amadeus Mozart Wikipédia

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Le jeune Mozart qui a parcouru l’Europe n’a plus d’autre horizon que Salzbourg. Cette perspective est rendue d’autant plus étouffante par l’avènement, le 22 juin 1772, du nouveau prince-archevêque Hieronymus von Colloredo-Mansfeld. Prince éclairé et progressiste par certains côtés, le prince-archevêque Colloredo, à la différence de son prédécesseur Schrattenbach, est entiché de musique italienne et bien décidé à mettre au pas les Mozart père et fils qu’il trouve arrogants et trop souvent absents.Betobet bonuses

Ce sera Die Entführung aus dem Serail (L’Enlèvement au sérail), en langue allemande, qui incitera Gluck, compositeur et directeur des concerts publics à Vienne, à féliciter Mozart et sera l’opéra de Mozart le plus joué à Vienne. Le jeune musicien émerveille les cours et les souverains, les dilettantes et les curieux. Il est cajolé et récompensé, parfois en espèces, mais plus souvent en bagues ou en montres, difficilement monnayables. Pour mieux éprouver sa virtuosité, on lui fait accomplir des prouesses comme jouer sur un clavier recouvert d’un drap. À Londres, le naturaliste Daines Barrington tente de montrer que Wolfgang n’est qu’une sorte de singe savant exhibé par son père devant la noblesse européenne et qu’il s’agit d’une supercherie, mais les épreuves auxquelles il soumet l’enfant révèlent qu’il est bien un prodige[13].

  • Jusqu’en 1785, il bénéficie d’une scenario financière assez florissante avec des revenus annuels estimés, selon les années, entre 2000 et 6000 florins.
  • Mozart naît le 27 janvier 1756 à eight heures du soir au numéro 9 de la Getreidegasse à Salzbourg[3].
  • Elle est alors une petite ville ( habitants), sur un des itinéraires joignant l’Empire et l’Italie, et tout entière centrée avec ses familles nobles, ses bourgeois, ses petits fonctionnaires et ses artisans sur la cour du prince-archevêque.
  • Sa femme sera accusée d’adultère, notamment avec un élève de Mozart (Süssmayer), qui l’accompagne en treatment à Baden durant une grossesse difficile ; les rumeurs cesseront lorsque l’enfant (Franz Xaver Wolfgang Mozart) naîtra, porteur de cette même malformation.

Mozart se rend à Munich, comme son contrat l’y autorise, pour quatre mois de travail intense. La création, le 29 janvier 1781, de Idomeneo, re di Creta (Idoménée, roi de Crète), un opera seria dans la custom de Gluck, est accueillie très favorablement par le public. Entre 1762 et 1766, le jeune Mozart entreprend le Grand Tour lors d’un lengthy périple musical avec son père, employé par le prince-archevêque Sigismond de Schrattenbach, ainsi qu’avec sa sœur aînée Maria Anna, qu’il appelle Nannerl. Débute ensuite une période d’environ deux ans et demi qui est sans doute la plus active et la plus heureuse de la carrière viennoise de Mozart.

Il rencontre le compositeur Joseph Haydn à Vienne avec lequel il nouera une profonde amitié. Le jeune Mozart finit par quitter Salzbourg pour se chercher un autre poste, c’est à ce moment qu’il tombera amoureux de la jeune cantatrice Aloysia Weber provoquant la colère de son père ( lui enjoignant de penser à sa carrière) qui l’envoie à Paris avec sa mère. Il ne trouva pas davantage de poste dans une France en crise, contracta des dettes et comble de malheur sa mère tomba malade et mourut. Matériellement, son voyage s’est soldé par un échec, mais il en est revenu très mûri sur le plan artistique et humain. En juin 1763, ayant obtenu un congé de son employeur, le prince-archevêque de Salzbourg, Léopold half avec sa femme, son fils et sa fille pour une grande tournée européenne (Allemagne, Bruxelles Paris, Londres, Hollande, Paris), qui durera jusqu’en novembre 1766.

Principales Œuvres De Mozart

En 1784 Mozart entre dans la Franc-maçonnerie pour laquelle il écrira plusieurs pièces dont la « Musique funèbre maçonnique » et la «  flûte enchantée » qui est une véritable description de l’initiation à la Franc-maçonnerie. Libéré des contraintes familiales et de celles de ses employeurs il peut donner libre courtroom à son immense et prolifique expertise  Il compose de nombreuses œuvres qui lui feront connaître un grand succès (sonates, symphonies, concertos, opéras, pièces de musique sacrée, sérénades). Son opéra Don Giovanni sera, à la suite du décès de son père en 1787, empreint d’une forte intensité dramatique.

Mais il doit se faire connaître à Vienne et gagner sa vie au jour le jour en donnant des concert events, des leçons, en publiant des partitions et en composant. À Bologne, le père Martini, érudit illustre, l’initie au vieux fashion sévère et le fait recevoir à l’Académie philharmonique qui n’admet en principe que des membres âgés de plus de vingt ans. Mozart a alors quatorze ans et c’est la dernière haute distinction qu’il recevra de sa vie. Mozart est un petit garçon émotif et tendre, joignant la plus attentive docilité à une spontanéité primesautière, avide de tout apprendre (les mathématiques) et racontant des histoires avec une creativeness débordante. Il joue avec sa sœur Nannerl, de peu son aînée et bonne musicienne, et reçoit l’enseignement du remarquable pédagogue qu’est son père. Trois enfants sont morts en bas âge, avant la naissance de sa sœur aînée Maria Anna (surnommée « Nannerl », née en 1751), et deux autres sont aussi morts de maladie entre la naissance de Nannerl et la sienne[5].

De nombreux portraits présumés de Mozart semblent avoir été effectués de seconde main, probablement sans voir le musicien ou bien rétrospectivement, après la mort du compositeur. Ils montrent des physionomies différentes et sont douteux quant à leur ressemblance. Le portrait peint vers 1782 par Joseph Lange, beau-frère de Mozart et peintre amateur, était considéré par sa femme, Constance, comme étant « de loin la meilleure image de lui »[43]. Mais le portrait de qualité le plus ressemblant est un portrait en miniature réalisé par Dora Stock le 16 ou le 17 avril 1789 lors d’un séjour de Mozart à Dresde.

Sur le trajet de son retour, il passe par Munich, où vit la famille Weber et où il apprend qu’Aloysia aime un autre homme. Après cette suite de déconvenues professionnelles et sentimentales, il arrive la mort dans l’âme à Salzbourg le 19 janvier 1779 et doit rentrer dans le rang. Le prince-archevêque Colloredo a daigné le reprendre à son service pour 450 florins par an. À son ancien poste de Konzertmeister, le contrat ajoute la fonction d’organiste à l’église, à la chapelle et à la cour, la formation des enfants de chœur et la composition de toute musique religieuse ou profane demandée par le prince.

À Salzbourg, Léopold Mozart, père de Wolfgang, et Michael Haydn, frère du grand Haydn et ami de Mozart, ont bénéficié d’obsèques plus relevées avec tombe individuelle et cortège officiel. On peut donc s’interroger sur la personnalité de Mozart et son probable rejet par l’aristocratie comme le fait le musicologue Robbins Landon au XXe siècle. D’autres musiciens que lui ont eu droit en effet à un traitement différent pour leurs obsèques, y compris avant 1791.

Le Jeune Mozart, Un Talent Prometteur

Robbins Landon a recherché les raisons pour lesquelles Mozart n’avait pas été accepté par la société de Vienne, voire rejeté ; peut-être, dit-il, parce qu’il affichait ostensiblement son appartenance aux loges, alors qu’après 1789, le level de vue de l’aristocratie change à cet égard. Mozart, affaibli par la maladie et les privations, doit, en outre, faire face à une surcharge de travail, car il a reçu (début août) la commande d’un opéra (La Clemenza di Tito, KV. 621) pour le couronnement du roi de Bohême Léopold II, qu’il doit composer[20] en trois semaines. C’est cependant moins au génie en herbe qu’au virtuose que sa famille prend garde.

Le disque et les œuvres de fiction contribuent à faire de lui le plus populaire des compositeurs classiques. Il y passera les dix dernières années de sa vie comme compositeur indépendant. En Italie, Mozart étudie l’opéra, style musical dans lequel il excellera, mais découvre surtout la bouffonnerie et le travestissement des masques, la concision dense et la netteté du trait, le brio d’une vivacité jamais alourdie. La musique italienne l’instruit moins qu’elle ne le révèle à lui-même en libérant son tempérament des docilités de l’enfance. Wolfgang est baptisé le lendemain de sa naissance dans une chapelle de la cathédrale Saint-Rupert de Salzbourg. Son acte de baptême porte les prénoms de Joannes Chrysost[omus][n 1] Wolfgangus[n 2] Theophilus.

Le tribunal ordonne à la chambre de la cour impériale, employeur de Mozart, de saisir la moitié du traitement annuel de 800 florins qui lui avait été accordé en 1787. En 1786, Mozart fait la connaissance du librettiste Lorenzo da Ponte, « poète impérial » à Vienne avec un rang directorial comparable à celui de Salieri directeur musical du Théâtre d’opéra impérial et kappelmeister. Da Ponte, alors bien en cour, contrairement à Mozart, convainc l’empereur d’autoriser la création d’un opéra basé sur Le Mariage de Figaro, de Beaumarchais, alors qu’il avait fait auparavant interdire la pièce, jugée subversive.

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Lors de ce séjour à Paris, sa mère Anna Maria tombe malade et meurt le 3 juillet 1778 rue du Gros-Chenet (actuellement au 8 rue du Sentier, où se trouve une plaque commémorative). Elle est inhumée à Paris après une messe à l’église Saint-Eustache, en présence de son fils qui signe le registre paroissial de cette église[n 3]. Le jeune Mozart démontre ses qualités exceptionnelles de virtuose, non seulement au clavecin, et plus tard au pianoforte, mais aussi au violon et à l’orgue. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de talent, sinon de génie précoce[2].

Il vend à des éditeurs des sonates, de la musique de chambre, des quatuors. Il reçoit des gratifications pour les dédicaces de ses œuvres à des mécènes et la somme forfaitaire de 500 florins pour chaque nouvel opéra dont il peut exploiter le succès en réalisant des arrangements de certains airs pour divers instruments. Le 7 décembre 1787, Joseph II, satisfait de Mozart, le nomme musicien de la chambre impériale et royale avec un traitement confortable de 800 florins par an.

Toutefois, ses démarches pour obtenir un poste restent là encore infructueuses. Il reçoit alors du directeur du théâtre de Prague, ville qui lui a fait fête, la commande d’un opéra pour la saison suivante. Mozart fait à nouveau appel à Lorenzo da Ponte librettiste à succès, pour créer le livret de Don Giovanni. Il s’inspire d’un opéra buffa italien de Gazzaniga produit à Venise sur un livret de Bertati quelques mois auparavant[19]. Ce décès bouleverse Mozart, et va influencer la composition de son opéra alors en chantier. Don Giovanni est créé au théâtre des États de Prague le 28 octobre 1787 avec un grand succès, mais qui ne se confirmera cependant pas à Vienne.

Tournée Européenne Et Retour À Salzbourg

Mozart observe Don Giovanni comme un opéra buffa, sans doute en raison du genre d’opéra, dans son catalogue[20], mais cet opéra sera publié et produit comme dramma giocoso, mêlant le comique et le tragique. Jusqu’en 1785, il bénéficie d’une state of affairs financière assez florissante avec des revenus annuels estimés, selon les années, entre 2000 et 6000 florins. À partir de 1786, il ne parvient pas à maintenir ses succès de pianiste à la mode et la composition d’opéras ne parvient pas à compenser ce manque à gagner. Probablement joueur, isolé en raison de son caractère difficile, « demeuré enfant » selon sa sœur Nannerl, Mozart est lourdement endetté. Le 9 novembre 1791, peu avant sa mort, il est condamné par le tribunal de Basse-Autriche (Landrechte) à rembourser 1435 florins avec mise sous séquestre de ses biens, au prince Karl von Lichnowsky qui lui a intenté un procès pour dettes à l’problem d’un voyage effectué en commun à Berlin en 1789.

Dans les premiers temps de son set up à Vienne, tout semble favorable à Mozart. Il est reçu de façon très bienveillante par un sure nombre de mécènes nobles et par le public bourgeois des amateurs de musique. Dans les palais et les live shows publics qu’il organise à son bénéfice, il joue ses concertos, improvise au clavier et fait entendre ses symphonies. Il donne des leçons de piano et de composition, et reçoit chaque jour trois ou quatre élèves fortunés qui peuvent chacun lui rapporter four hundred à 500 florins par an.

En juillet 1791 un mystérieux inconnu (qui se révéla être le comte Walseeg-Strupach) lui commande un Requiem alors qu’il doit terminer l’opéra « La Clémenza di Tito », il travaille jours et nuits, mais privations et maladie auront raison de lui. Il meurt au petit matin du cinq décembre 1791 à l’âge de trente cinq ans sans avoir pu terminer son Requiem (que l’un de ses élèves, Franz Xaver Süssmayr complètera) et sera enterré à Vienne dans une fosse commune. Le triomphe de l’opéra « L’enlèvement au Sérail », commandé par par l’empereur Joseph II suscite chez Mozart l’espoir d’être nommé « maître de chapelle Impérial », le rêve de sa vie, mais à sa grande déception, ce poste sera attribué au compositeur Italien Antonio Salieri. Mozart a eu une grande affect sur l’histoire de la musique, et ce directement auprès de ses contemporains. Même son aîné, Haydn, ami et admirateur de Mozart, en subit l’influence dans ses dernières symphonies et messes, et dans ses deux oratorios.

En effet, Salzbourg ne devient autrichienne qu’en 1805 lors des guerres napoléoniennes. Mozart a fait la connaissance de la troisième fille de madame Weber, Constance, et décide de l’épouser, sans attendre le consentement écrit de son père qui en sera furieux. Le mariage est célébré à Vienne le four août 1782 à la cathédrale Saint-Étienne. La démission écrite de Mozart ne parviendra jamais à Colloredo, pas plus que celui-ci ne congédiera officiellement Mozart. Ce qui marque la séparation définitive, ce sera le célèbre coup de pied que Mozart recevra, le 2 juin à la maison de l’Ordre teutonique à Vienne, de la part d’un intendant de la cour, le comte d’Arco. S’il a été un échec professionnel, ce voyage a grandement contribué à la maturation artistique et humaine du jeune Mozart.

Léopold a envie de faire connaître cet élève hors de pair et son maître, le prince-archevêque, autorisera des tournées qui feront honneur à sa cour. Mozart n’eut pas de croix, ce qui a choqué à l’époque les admirateurs du compositeur. Des analyses ADN récentes n’ont pas pu authentifier le crâne comme étant celui de Mozart. Il est établi que devant l’inaction de la veuve de Mozart, plusieurs personnes ont ensuite cherché à retrouver ses restes dans le cimetière, en useless, les fosses communes étant régulièrement remaniées pour accueillir de nouveaux corps. À Paris, Mozart espère trouver de l’aide auprès de Friedrich Melchior Grimm, qui s’était occupé de sa tournée lorsqu’il avait sept ans, mais sans succès ; l’homme de lettres lui reprochant « un manque de savoir-faire pour se mettre en valeur ».

Écrits

Mozart ne trouve pas non plus de poste qui lui convienne, et a même du mal à se faire payer ses leçons d’un noble qui le traite avec condescendance ; comportement des nobles en général qui marquera Mozart. Mozart naît le 27 janvier 1756 à 8 heures du soir au numéro 9 de la Getreidegasse à Salzbourg[3]. Il est le fils de Léopold Mozart, musicien, compositeur et pédagogue originaire d’Augsbourg, ville libre d’Empire, qui occupe alors la fonction de vice-maître de chapelle à la cour du prince-archevêque de Salzbourg, et d’Anna Maria Pertl, sa femme[4], fille d’un fonctionnaire de la cour de Salzbourg. Selon le témoignage de ses contemporains, il est, au piano comme au violon, un virtuose.

Wolfgang Amadeus Mozart

Son nouvel employeur lui impose la forme des pièces qu’il doit composer pour les cérémonies religieuses. À dix-sept ans, Mozart a du mal à accepter ces contraintes, et ses relations avec le prince-archevêque vont en se dégradant au cours des trois années qui suivent. La mort dans l’âme, Mozart reprendra son ancien poste à Salzbourg (que son père avait réussi à négocier).

Après la mort de son protecteur, l’empereur Joseph II, Léopold II lui succède. Ce dernier ne semble pas apprécier Mozart, qui perd sa scenario, puis les faveurs de la noblesse, sans doute à cause du procès pour dettes intenté par le prince Lichnowsky à l’issue d’un voyage effectué en commun. Désormais débarrassé de l’autorité de son employeur mais aussi de la tutelle de son père, Mozart a gagné sa liberté.

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